Titres de l'album sorti en 2003 :

1. Comme un homme à la mer

2. Ô Compagnons

3. Il ira loin

4. La mémoire des jours

5. Il y a toujours

6. Au temps des colonies

7. Être Rimbaud

8. 1900

9. Sur la route (en duo avec Jean-Louis Aubert)

10. La réalité

11. Des mots

12. Suivez la musique

Il existe une autre version de cet album avec 3 nouvelles chansons : Poste restante, Une journée particulière et une nouvelle version de Ô Compagnons (la version radio), ainsi que le clip de cette dernière.

C'est grâce à cet album que j'ai découvert Raphael. Premier tube de cet album : Ô Compagnons. Je me rappelle que ça passait en boucle à la télé et à la radio. J'ai détesté !
Et puis, le duo avec Jean-Louis Aubert est sorti, et là, ça a tout changé. J'ai décidé que finalement, Raphael c'était pas si nul que ça, ça valait peut-être la peine d'écouter... donc j'ai acheté l'album. Et je ne regrette vraiment pas !

Mes chansons préférées à part Sur la route : Poste restante, Une journée particulière, La réalité, Des mots, Suivez la musique, Au temps des colonies...
Et oui, j'ai finalement adoré l'album, et j'ai fini par apprécier Ô Compagnons...

Titres de l'album sorti en 2000 :

1. Cela nous aurait suffi (dayenou)

2. Qu'on est bien dans ce monde

3. Laisse Faire

4. Hôtel de l'univers

5. La meute

6. Ici tout va bien

7. On craindra plus les balles

8. Choisis ton camp

9. Petite annonce

10. T'apporter mon amour

11. Libre service

A part quelques chansons, comme Hôtel de l'univers ou Laisse faire, je dois avouer que je n'accroche pas du tout. Peut-être faudrait-il que je le réécoute, mais je n'en ai vraiment pas gardé un bon souvenir.

Ce n'est pas grâce à cet album que je suis devenue aujourd'hui une fan de Raphael, ça c'est sûr. Cet album est vraiment très différent de ce que Raphael a ensuite fait.

1972. Dans une maison cossue d'Amsterdam, une adolescente se saisit, dans la bibliothèque de son père, d'un gros livre relié d'où dépassent des feuillets jaunis. Des lettres. Elle a la curiosité d'en déplier une. Voilà comment la jeune fille entre dans une énigme surgie du passé qui a endeuillé la jeunesse de son père, et à cause de laquelle son grand ami, le fameux professeur d'histoire Bartholomew Rossi, a perdu sa réputation, sa santé mentale, et sans doute sa vie : Vlad III de Valachie, dit Drakula, est-il mort ou… L'immortalité n'existe pas, n'est-ce pas ?

Parfois un peu long dans certaines descriptions, mais quand même très prenant. Au final, on finit par se dire "et si...". Très bon travail au niveau historique, dans le sens où on a vraiment l'impression d'y être, de faire les recherches avec elle. A se demander où finit le réel et où commence la fiction...

Ce sont des signes étranges, tracés à la peinture noire sur des portes d'appartements, dans des immeubles situés d'un bout à l'autre de Paris. Une sorte de grand 4 inversé, munie de deux barres sur la branche basse. En dessous, trois lettres : CTL. À première vue, on pourrait croire à l'oeuvre d'un tagueur. Le commissaire Adamsberg, lui, y décèle une menace sourde, un relent maléfique. De son côté, Joss Le Guern, le Crieur de la place Edgar Quinet, se demande qui glisse dans sa boîte à messages d'incompréhensibles annonces accompagnées d'un paiement bien au-dessus du tarif. Un plaisantin ou un cinglé ? Certains textes sont en latin, d'autres semblent copiés dans des ouvrages vieux de plusieurs siècles. Mais tous prédisent le retour d'un fléau venu du fond des âges.

Début un peu long, mais une fois les premières pages passées on ne peut plus lâcher ce roman. On s'attache rapidement à ce crieur breton, on s'imagine rapidement la scène dans notre tête... Chaque personnage est attachant, il n'y a pas de super héros, chacun a des failles, des défauts... est humain, quoi. Et la grand-mère... un sacré numéro !

Et Fred Vargas est une historienne, et dans ce livre, les évènements du passé dont elle parle sont vrais, ce n'est pas que du roman...

Donc à découvrir pour ceux qui ne connaissent pas encore le talent de Fred Vargas...

Un ami en danger. Une bagarre qui dégénère. Un accident.
À vingt ans, Matt Hunter est devenu un assassin.
Treize ans plus tard, il mène enfin une vie paisible avec la femme qu’il aime, Olivia, enceinte de leur premier enfant. Et puis un jour, sur son portable, il reçoit une vidéo d’Olivia dans une chambre d’hôtel en compagnie d’un inconnu.
Le cauchemar recommence…

Pour la première fois depuis le temps que je lis du Coben, j'ai eu du mal à entrer dans le bouquin. Il m'aura fallu près de 200 pages pour enfin vraiment accrocher. Je n'ai pas voulu abandonner, parce que mine de rien je voulais savoir comment ça allait se terminer. Les 200 premières pages passées, ce roman est vraiment génial. Plus j'approchais de la fin, plus j'avais des difficultés à poser le livre : comme pour les autres, au moindre moment de libre je reprenais ma lecture...
Donc pour résumer : début long, mais fin géniale....

Deux coups de feu, le trou noir…
Douze jours de coma…
Marc se réveille : sa femme est morte et Tara, sa petite fille de six mois, a disparu.
La demande de rançon est claire : deux millions de dollars et Tara aura la vie sauve.
Avocats véreux, filières d’adoption douteuses, trafic de bébés, enlèvements crapuleux, tueurs à gages, psychopathes…
La vie de Marc bascule dans le cauchemar absolu.

Encore meilleur que les autres, même si toujours pas égal à Ne le dis à personne.
Et oui, Harlan Coben n'est pas le maître du thriller pour rien... encore un roman qui se lit d'une traite, qu'on ne peut lâcher, tellement on veut connaitre la vérité. Là encore, je conseille vivement ce livre, c'est un régal !

Et si votre vie n’était qu’une vaste imposture ? Si l’homme que vous aviez épousé dix ans auparavant n’était pas celui que vous croyez ? Si tout votre univers s’effondrait brutalement ?
Pour Grace Lawson, il aura suffit d’un seul regard sur une vieille photo prise vingt ans plus tôt et porteuse d’une incroyable révélation pour que tout s’écroule. Ses souvenirs, son mariage, ses amis : tout n’était qu’un tissu de mensonges.
Mais le cauchemar ne fait que commencer…

Même si pour moi il est difficile pour Coben de faire mieux que Ne le dis à personne, j'ai trouvé le roman Juste un regard meilleur que Disparu à jamais. Evidemment, ce n'est qu'une question de goûts... Dans tous les cas, je conseille vivement ce roman à tous les amateurs de thriller, et plus particulièrement aux fans de Coben !

Livingston, banlieue de New York. Il y a onze ans, Ken Klein, accusé d’avoir violé et étranglé sa petite amie, disparaissait à jamais, emportant avec lui la vérité sur ce meurtre aussi atroce qu’inexplicable... Convaincu de l’innocence de son frère, Will s’est résigné à cette fuite sans retour. Jusqu’au jour où il apprend que, revenu sur les lieux du crime, Ken a été aperçu dans le cimetière de la ville...
Bientôt, Will voit sa fiancée le quitter sans explication... Pur hasard ? Difficile à croire. Brutalement plongé au cœur d’une ténébreuse affaire, il est temps que Will comprenne que les deux êtres qui lui sont le plus chers, sont peut-être ceux qu’il connaît le moins...

Là encore, du pur Coben ! Encore un roman, plus précisément un thriller qui se lit d'une traite. Evidemment, faut aimer le style Coben. Si vous n'avez pas aimé Ne le dis à personne, passez votre chemin ! (Enfin rien ne vous empêche de le lire, évidemment, mais j'ai du mal à imaginer qu'on puisse ne pas aimer Ne le dis à personne et apprécier les autres Coben).  Pour les autres, à lire d'urgence !

Imaginez... Votre femme a été tuée par un serial killer. Huit ans plus tard, vous recevez un e-mail anonyme. Vous cliquez : une image... C'est son visage, au milieu d'une foule, filmé en temps réel. Impossible, pensez-vous ?

Si vous n'avez encore jamais lu de roman d'Harlan Coben, c'est par celui-ci qu'il faut commencer ! Harlan Coben est à mes yeux le maître du thriller-suspense. Une fois un roman commencé, on ne peut plus s'arrêter, car on veut savoir... toujours les mêmes questions : qui ? pourquoi ? comment ? hein ?

Ne le dis à personne... est pour moi le premier Coben à lire. Pourquoi ? Parce que c'est celui qui permet le mieux de découvrir l'univers de Coben. Et ce roman est un vrai bijou ! à ne pas rater...

Qui n'a jamais entendu parler d'Harry Potter ? A moins de ne pas avoir la télé ou la radio, de ne jamais mettre les pieds dans une librairie, ou mieux, de ne jamais sortir de chez soi, difficile d'échapper au phénomène qu'est Harry Potter...

Mais qui est Harry Potter ? Gallimard nous donne un début de réponse sur son site http://www.harrypotter.gallimard-jeunesse.fr/qui_est_harry/qui_est_harry.php :

Prenez un orphelin de 10 ans nommé Harry. Faites le vivre avec son oncle et sa tante aussi méchants qu’ennuyeux. Dotez-le d’une existence malheureuse, persécuté et humilié par son cousin, le gros Dudley. Vous obtenez Harry Potter, une star chez les moldus, une célébrité chez les sorciers.

Le jour de ses 11 ans, il reçoit une première lettre étonnante. Elle est suivie d’une centaine d’autres que sa famille lui interdit de lire. Qu’importe, Hagrid un géant force le barrage et lui annonce la nouvelle. Dès septembre, il entrera à l’école de sorcellerie faire son éducation. L’heure de son destin a sonné, il a pour nom le collège de Poudlard. Le 1er septembre, Harry prend le Poudlard Express à la gare de King’s Cross, voie 9 3/4, cachée aux yeux des gens ordinaires. Poudlard est un monde magique, où les hiboux se chargent de transporter lettres et paquets, où l’on rencontre des fantômes farceurs dans les toilettes des filles…

Sorciers, géants, dragons, licornes, centaures, la famille Fantastique se retrouve ici au grand complet. A l’école de sorcellerie, on apprend à faire des potions, à combattre les forces du mal, à manier la baguette magique. On dispute des matchs de quidditch sur des balais volants, on va boire une bière au beurre au Chaudron Baveur. De livres en livres, les personnages grandissent dans cet univers merveilleux, au récit bien tenu et à l’humour constant. Ici, la lutte du bien et du mal ne tourne jamais au tragique.

Une saga « magique » dont le secret tient en une alchimie complexe, qui allie les archétypes du conte de fées à une description réaliste des enfants et des adultes. Une plume vive, où se mêlent émotion et inventivité débridée, intrigue et suspens qui font de ces romans une lecture subtile et passionnante pour les lecteurs de 9 à 99 ans.

Comme beaucoup d'adultes, je pense, je n'ai pas tout de suite été intéressée par Harry Potter, je pensais que ce livre s'adressait aux enfants. Et oui, tout le monde peut se tromper !
J'ai découvert réellement Harry Potter grâce au  premier film. Je suis ressortie de la salle charmée par cet univers. Sitôt rentrée je me suis jetée sur les premiers livres déjà sortis, et je ne les ai plus lâchés.

Ce qui me plait dans cette saga : son univers. J'aime la magie. On a l'impression d'être dans un rêve, parfois dans un cauchemar dans les moments plus sombres. On s'attache vite aux personnages, on vit avec eux, on souffre avec eux... en gros, on ressent comme eux. Qui a réussi à ne pas pleurer en lisant HP ?

Pourtant, je n'aime pas spécialement la façon dont Harry, qui est quand même le personnage principal, évolue. Au fil des livres il paraît arrogant, trop sûr de lui. Il en est énervant !
Mais cela ne gâche pas encore le plaisir de lire et relire cette magnifique saga...